Bill Gates décède malheureusement un jour et va au purgatoir. Arrivé la St Jean l'accueille embarrassé et lui dit -Bill tu as escroqué pas mal de monde mais t'es quand meme un bon gars alors je te laisse le choix entre enfer et paradis. Bill heureux decider de visiter les deux lieux avant de choisir! Il commence par le paradis: là il voit des gens heureux paisibles, honnêtes, solidaires dans des paysages fabuleux. En enfer, il voit des gens escroqués, des femmes à demi-nu, un lieu de debauche! Alors il retourne voir Saint Pierre et lui explique qu'il préfère malgré tout aller en enfer. Une fois aux portes de l'enfer, le diable en personne lui ouvre la porte et l'invite a entrer. Mais la, oh stupeur, Bill découvre un lieu horrible, plein de flammes avec des diablotins qui torture tout le monde... Bill étonné demande à lucifer
Mais ça ne ressemble pas à ce que j'ai vu tout a l'heure! et le diable lui repond :
Oui je sais mais tu connais le probleme avec les démos !
Voilà !
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92. niko-bellic,
salut, très drôle ta blague! j'en ais une bonne. C'est un petit canard qui vas à la farmacie. Il demande au farmacien, auriez vous de la craime glacer? Le farmacien répond. On a pas de craime glacer ici mon petit canard. Le petit canard s'enva. Il revient le landemain. Et reformule sa demande. Auriez vous de la craime glacer? Le farmacien répond. On a pas de craime glacer je t'es dit! Le petit canard s'enva. Il revient et reformule la même demande une troisième foi. Auriez vous de la craime glacer? Le farmacien répond. On a pas de craime glacer je tes dit! Si tu revient demain, je vais te clouer les pates au plancher! Le petit canard s'enva. Il revient le landemain et demande. Auriez vous des cloues? Le farmacien répond d'un non catégorique. non! Alors, le petit canard redemande. Mais auriez vous de la craime glacer alors?
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93. boomerang ,
salut salut, je trouve vos blague vraiment génial! j'espère vous lire encore! a bientôt
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94. ghtin ,
Toto et son copain remy.la mère dit a toto : toto n'oubli pas de preter ta luge a ton copain remy! non non, je la garderais pour descendre et lui l'aura pour monter
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95. niko-bellic,
salut, merci à cupidon de me dire qu'il adore mes blagues! Et merci à touce de m'aqueuire sur cet platforme! Pour vous remercier, j'ai une bonne blague. Commen on appelle un chat que l'on vois à travers? un chaci.
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96. prince.fukaboshi ,
bonjours j'ai une blag qui en est pas une. malgré que je ne voye pas... c'est ma seur qui veu un livre elle à le titre sur son tellephone. elle me dit regarde c'est écrie sur l'écran
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97. migue ,
coucou tout le monde, que trouve t-on entre une chaise et un bureau?
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98. prince.fukaboshi ,
je donne ma langue au chien pour changer
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99. Max2003 ,
De la logique lol. Non je sais pas.
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100. trol ,
prenez ça! Pourquoi les candidates jouant à question pour un champion ne tiennent pas en place? Parce qu'il faut impérativement que Samuel les tiennent! Bon ok, pas trouvé mieux, punchez moi si vous voulez :)
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101. prince.fukaboshi ,
salut:
pas sur d'avoir tout comprie mais j'adore
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102. Alan.Hunot ,
salut à toutes et à tous!
c'est un mec qui rentre dans un bare et qui dit : "c'est moi"! alors que c'était pas lui!
merci! bon! ok je sort! cordialement alan.hunot
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103. Aminiel,
Une petite pour la route:
Un singe entre dans un magasin et demande au vendeur :
Vous avez des bananes ?
Non on n'en a pas
Vous avez des bananes ?
Non, on n'en a pas.
Vous avez des bananes ?
Non, on en a pas je te di !
Vous avez des bananes ?
Non, on n'en a pas ! Si tu me demandes encore une fois, je te cloue la langue sur le comptoir !
Vous avez des clous ?
Non, c'est un magasin d'alimentation ici
Vous avez des bananes ?
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Última edición por Aminiel, 19.04.2016 09:45:26
104. misterjungle,
Fun vos blagues, mais dommage aminiel, la tienne avait déjà été faite, et avec un canard en plus!
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105. Aminiel,
Ah mince, je me répète... désolé.
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106. Porsch,
Hello,
J'en ai une !
Pourquoi les bretons sont tous frères et soeurs ?
Parce qu'ils ont tous Quimper !
Ok je sors ...
Dédicace aux amis bretons.
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107. toshiba,
Savez-vous quoi fair pour que les enfants de Patrice Bélanger ne voiye plus leur père, vous-avez juste à fermer la télée.
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108. Max2003 ,
elle sont terrible toutes vaux blagues!
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109. niko-bellic,
me voilà avec une autre. C'est un garçon qui entre dans un restaurant. Il rencontre un amérindien. Il demande à l'amérindien, excusemoi, savez vous où son les toilettes? L'amérindien frappe le garçon avec un coup de poin. Le mec demande à l'amérindien. Hey, mais qu'est-ce que j'ai fait? que ce pas t'ile? L'amérindien se lève regarde le garçon et dit. Moi beau! toi laid!
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110. blaise97,
bonjour, un petit up de se topic ma fois très très intéressant... mais qui ne sera pas inutile je vous assures! en effet, j'ai deux blague à vous faire partager. bon, je ne suis pas très bon pour en raconter, mais il y a deux bonne blague qu'à chaque fois que je l'es lit, j'en ri toujours autant... elles se porte plus tôt sur l'informatique, mais tout le monde ou en fin la plus part du monde devrait bien les comprendres... donc voici la première: Si Microsoft construisait des ascenseurs... D'après des courriers circulant au hasard du réseau. L'ascenseur vous demanderait "Êtes vous sûr ?" quand vous appuyez sur le bouton de l'étage désiré. La charge utile serait, à raison de 70 kg par personne, de 9 personnes soit 629,9999995623485 kg. D'ailleurs, seules les personnes pesant exactement 70 kg pourraient emprunter les ascenseurs Microsoft, puisque cela aura été fixé comme standard par les ingénieurs Microsoft. La puissance des treuils doublerait tous les deux ans, mais le poids des cabines doublerait tous les six mois, ce qui aurait pour effet de rendre les ascenseurs de moins en moins fiables et de plus en plus lents Les personnes qui emprunteraient les ascenseurs Microsoft deviendraient de ce fait incompatibles avec les ascenseurs Schindler ou Otis. Il faudrait alors les reformater. Les ascenseurs seraient livrés avec un logiciel "Building Explorer", permettant de se rendre a n'importe quel étage de l'immeuble, à condition d' être très patient. En cas de problème, on verrait apparaitre des messages du type : - "Accès à l'étage impossible. L'étage doit être encombré ou l'ouverture de la porte n'est pas fiable. Réessayez plus tard." - "L'étage que vous avez demandé n'existe plus. Vérifiez que le bouton sur lequel vous avez appuyé correspond à un étage." -"Veuillez attendre la fin des opérations de l'ascenseur avant de quitter la cabine." Chaque fois que vous emprunteriez l'ascenseur, vous auriez l'astuce du jour, du style : "Savez-vous qu'en ne restant pas dans la porte, vous permettez à celle-ci de se refermer plus facilement ?" "Si vous ne vous allongez pas par terre, cela permettra à d'autres personnes d'emprunter l'ascenseur en même temps que vous." Microsoft resterait propriétaire des ascenseurs, ses clients ne disposant que d'une licence d'utilisation. Les ascenseurs Microsoft seraient bien sûr livrés d'abord en version beta, les utilisateurs étant chargés de noter les anomalies et de les faire connaitre à Microsoft ... une fois décoincés. Les ascenseurs Microsoft étant tous à quatorze niveaux, il faudrait ajouter des étages aux immeubles afin qu'ils acceptent les ascenseurs Microsoft. Les ascenseurs Microsoft proposeraient des raccourcis claviers très utiles, par exemple la combinaison de touches Sonnerie-Ouverture des portes -2 pour atteindre le premier sous-sol. De temps en temps, il se produirait une "erreur de protection générale" ayant pour effet de faire s'écrouler l'immeuble. Il n'y aurait plus d'escaliers (tellement plus simples, moins chers et plus rapides pour la plupart des utilisations ...) On pourrait demander un "apercu de l'étage" pour être sûr que celui-ci correspond à ce que l'on veut rechercher. En cas de panne, vous auriez accès à la hot-line Microsoft de 8h à 20h sauf le dimanche : - Bonjour, bienvenue chez Microsoft. Je suis votre responsable du service après-vente. Que puis-je faire pour vous ? - Bonjour, je suis coincé dans l'ascenseur. - Etes-vous sûr que vous êtes coincé ? L'ascenseur n'est-il pas en train de travailler ? - Comment le saurais-je ? - Y'a t'il une lumière orange qui clignote sur le panneau de commande ? - Non, je ne vois rien. - Vous rappelez-vous tout ce que vous avez fait avant d' être coincé ? - Eh bien j'ai appuyé sur le bouton du 4e étage, l'ascenseur a démarré puis s'est arreté. - Etes-vous seul ou plusieurs dans l'ascenseur ? - Je suis seul. - Pesez-vous plus ou moins de 630 kg ? - Euh .... moins, je crois. - Pouvez-vous sortir de l'ascenseur ? - Non, les portes sont fermées. - Avez-vous sauvegardé l'étage auquel vous désirez vous rendre ? sinon il vous faudra réappuyer sur le bouton quand l'ascenseur fonctionnera à nouveau. - Non, mais ça va, je m'en souviens. - Très bien. Quelle est la version de votre ascenseur ? - ??? Euh ... il a été construit au début de l'année. - Je vois. Il y avait un bug dans cette version. Sortez de l'ascenseur et ouvrez les portes de l'extérieur, ainsi vous serez décoincé. Ensuite, demandez à votre revendeur Microsoft la dernière version d'ascenseur, plus complète et permettant d'atteindre le quatrième étage. Merci d'avoir fait appel au service après-vente Microsoft. la deuxième, la meilleur selon moi: Bonjour
Alors cette semaine, je vous explique comment cracker un programme. Allons, ne prenez pas cet air scandalisé, pauvres hypocrites…. Tout le monde fait usage au moins une fois dans sa vie de ces petites subterfuges visant à utiliser indéfiniment un programme d’essai qui ne devait fonctionner en principe que 30 jours. Alors voici les directives :
1- Rendez-vous sur la page d’accueil d’un site Internet de cracks. Ceux-ci sont faciles à trouver car leur adresse contiennent généralement le mot « crack » (rien de moins). Par contre, ne soyez pas dupé par des adresses contenant le mot « crack de fesse », qui sont généralement des adresses d’employés de la construction.
2- Allez vous chercher un café pendant que le site vous ouvre une bonne douzaine de pop-ups. En fait, non. Allez plutôt vous chercher une bonne tisane. Vous en aurez plus besoin.
3- Revenez à votre poste de travail et fermez un à un les pop-ups qui se sont ouverts, le tout avec un simulacre de sourire afin de convaincre votre subconscient que cette opération est d’un plaisir incomparable.
4- Réalisez alors une des joies de l’illégalité informatique : tuez un pop-up et obtenez-en le double.
5- Savourez le jeu « kill a fuckin pop and win a freaking crack », qui consiste à fermer les pop-ups le plus rapidement possible avant qu’ils ne réapparaissent sur votre écran. Réalisez à ce moment la chance que vous avez de jouer à ce jeu vidéo sans même avoir à débourser un seul sou.
6- Dans votre tentative hystérique de fermer tous les pop-ups, vous aurez naturellement fermé la fenêtre qui vous intéressait réellement. Vous avez compris, c’est à ce moment que vous prenez une gorgée de tisane. Détendez-vous et abstenez-vous de craquer. Enfin, dans le sens premier du terme.
7- Lorsque vous avez enfin réussit à atteindre la page d’accueil du site sans avoir les pop-ups, tapez le nom du programme, cliquez sur « chercher » puis tenez-vous prêt pour un autre assaut de pop-ups.
8- Une fois arrivé sur la page de téléchargement du crack, on vous propose d’installer un truc nébuleux sur votre ordinateur. Si vous êtes débutant en la matière, vous acceptez et vous vous faites fourrer. Sinon, vous fermez la fenêtre. Évidemment, la fenêtre s’ouvre à nouveau. Vous comprenez alors les règles du deuxième jeu : fermer la fenêtre qui vous importune et cliquer sur le lien de téléchargement le plus vite possible avant que la fenêtre ne réapparaisse (Eh oui, il s’agit bien du jeu « click on the damn link before you get the fuckin pop » (Tel que vu à la télé)
9- Lorsque le téléchargement est entamé, vous pouvez fermer toutes les fenêtres, habité par un curieux mélange de fierté et de culpabilité.
10- Ce moment est le plus décisif sur la santé mentale des débutants. Les plus faibles n’y résistent pas. Il s’agit de la période de confrontation. Vous ouvrez à nouveau votre navigateur et vous réalisez que votre page d’accueil a été remplacée par un truc du genre casino-poker-paire-de-grosses-boules-viagra-pas-cher-search.com. Si vous êtes un tantinet expérimenté, vous remettez votre page d’accueil favorite par défaut et vous vous félicitez de votre débrouillardise. Mais vous réalisez en ouvrant à nouveau votre navigateur que casino-poker-paire-de-grosses-boules-viagra-pas-cher-search.com n’est pas si facile à déloger. Vous poussez donc la tactique un peu plus loin et vous supprimez rageusement l’Historique ainsi que les Internet Temporary Files et les Cookies, dans l’espoir d’achever cette plaie qui vous prive de votre page d’accueil habituelle. Habituellement, cela porte des fruits. Amen.
11- Votre crack est maintenant téléchargé. Remarquez comme l’attente fut aisée, puisque vous étiez occupé à défucker votre navigateur. Les pirates pensent à votre bonheur.
12- Décompressez. Puis décompressez votre fichier durement gagné. Le moment fatidique est enfin venu : vous allez craquer votre programme. Suivez les instructions, retenez votre souffle, puis… réalisez que le crack ne correspond pas à votre version du logiciel. Vous l’avez téléchargé pour rien. Euh, en fait non. Pas pour rien. Pour avoir casino-poker-paire-de-grosses-boules-viagra-pas-cher-search.com en guise de page d’accueil.
13- Fermez votre ordinateur et allez donner quelques bons coups de poing sur un des murs de votre chambre. Vous pouvez également étrangler votre chat de compagnie ou pratiquer tout autre acte de violence permettant à votre agressivité d’être canalisée de façon constructive. Revenez en place et ouvrez votre ordinateur. Ouvrez à nouveau votre navigateur et réalisez qu’il n’y a absolument pas moyen de se débarrasser de casino-poker-paire-de-grosses-boules-viagra-pas-cher-search.com. Comme tout le monde, vous penserez alors que vos droits et libertés sont brimés par cette page d’accueil qui vous est imposée. Mais votre bon sens vous répondra aussitôt qu’il est malaisé de porter plainte parce qu’un site illégal vous importune depuis que vous l’avez visité pour télécharger un crack. Réalisez à ce moment une autre règle de l’illégalité informatique : est pris qui croyait prendre.
14- Reformatez votre disque dur ou rendez-vous sur CCM afin de vous débarrasser de vous savez quelle page d’accueil, puis réinstallez tous vos programmes. Faites ensuite le calcul suivant : Vous avez perdu 8 heures pour chercher un crack digne de ce nom. Le temps étant de l’argent, et en vous appliquant un salaire bidon de 10 euro de l’heure, vous avez donc perdu 80 euro. Vous avez ensuite perdu 8 heures supplémentaires pour reformater votre disque dur et réinstaller vos programmes. Un 80 euro de plus. L’opération a nécessité 18 sachets de tisane totalisant 2.50 euro. Votre air massacrant a causé la rébellion des membres de votre famille, qui ont été se changer les idées au McDonald’s ou au Quick. Et hop, 35 euro de plus. Votre crack vous a donc coûté pas moins de 197.50 euro!hé hé hé!!Encore un gros merci à casino-poker-paire-de-grosses-boules-viagra-pas-cher-search.com.
La morale de cette histoire : Vous avez le choix entre certaines entreprises qui vous arnaquent avec le prix de leurs logiciels… ou les fournisseurs de cracks qui sabotent le bon fonctionnement de votre ordinateur. Quelle est donc la meilleure décision à prendre? Vous avez tout compris : foutez votre ordinateur à la poubelle, vendez votre maison et allez élever des poules en campagne. Vous vous éviterez ainsi tous les ennuis de cette vie insipide que vous offre le monde moderne. Allez… bon élevage. voila, rigolez bien! Blaise p.s. je ne suis absolument pas contre les crack, bien au contraire, mais ça explique bien les problèmes que l'on pourrait rencontrer... tout en fesant rire!
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111. rone,
Moi j'en aie une petite, quelle le comble pour un billet???? c'est d'être mis en pièce!
...étaient des compagnies aériennes ? DOS Air : Les passagers marchent sur le tarmack jusqu’à l’avion, attrapent celui-ci, et le poussent jusqu’à ce qu’il décolle. Ils s’accrochent pendant le vol, pas plus de quelques mètres d’altitude et sautent juste avant l’atterrissage pour récupérer l’avion et éviter qu’il ne se crashe. Puis ils recommencent. iMac Airways : Le type d’avion utilisé change tous les ans. Le design est hyper-soigné. Le billet est 50% plus cher que chez les concurrents. Caissiers, pilotes, stewarts, sont des clones les uns des autres, disent et font les mêmes choses. Vous entrez dans l’avion sans le voir et une fois à l’intérieur, vous n’avez aucun hublot pour voir dehors si vous êtes en vol ou pas. Aucune vibration durant le décollage, le vol ou l’atterrissage. Bref, vous ne savez même pas que c’est un avion et que vous êtes en vol ! Le mot d’ordre est « Tout va bien à bord ». Si vous posez une question, on vous répond que vous n’avez pas envie ni besoin de savoir, et de retourner vous asseoir. Une question de plus et c’est le procès. « Tout va bien à bord ! » Windows® Airline : Le terminal d’embarquement est superbe dans le genre tape-à-l’œil, il a d’ailleurs été fabriqué exprès pour Microsoft quand les responsables de l’aéroport se sont aperçus que Windows Airline exigeait des terminaux et pistes spécifiques. Les pilotes sont des experts, la flotte aérienne immense, même si le prix est assez élevé. Il est très facile de consigner vos valises et l’embarquement se fait sans histoire. Le décollage se fait comme une fleur. Vous volez vers les nuages... et à 10 000 mètres d’altitude l’avion explose sans prévenir. Windows XP Jets : Vous arrivez deux heures avant l’embarquement. Le port d’embarquement est très confortable et bleu fluo. Les hôtesses de MicrosoftTM sont ravissantes. Vous ne regrettez pas les dix mois de salaire que vous avez investis dans ce vol. Mais vous peinez à trouver votre billet : deux molosses aux armes de la BSA vous plaquent alors au sol, vous pointent un pistolet sur la tempe, vous fouillent. Vous échappez de justesse à la palpation rectale, car on retrouve votre billet dans votre valise. L’avion est gigantesque : pour 25 passagers, il fait 100 mètres de long et possède dix réacteurs, dont quatre pour la piscine et les masseuses thaïlandaises, et deux pour assurer le poids des huit autres. Vous avez lu que si un seul moteur lâche, l’avion est perdu. C’est contraire à tous les règlements aériens, mais le patron de la compagnie a payé la campagne du Président, alors... Le personnel est malheureusement mal sélectionné. Plusieurs personnes vous proposent leurs services, et vous avez appris à garder la main sur votre portefeuille dans ces occasions. À l’embarquement, on vous prélève de l’ADN. Le journal à disposition en tête de l’avion est facturé. Les toilettes sont payantes. Le capitaine n’accepte de renouveler l’air de la cabine qu’après avoir obtenu une autorisation de prélèvement. Alors que vous vous plaignez à votre voisin de la rapacité de la compagnie, une hôtesse vous surprend. Votre license de vol est automatiquement suspendue, et vous constatez que votre siège est éjectable. Windows Vista Jets : Microsoft a renouvelé sa gamme d’avions, et seuls sont à présent disponibles des super-jumbos. À bord, cinq inspecteurs de police vous surveillent en permanence. Trente hommes d’équipage sont chargés uniquement de la sécurité extérieure, des contre-mesures électroniques, du blindage de l’appareil. Il faut reconnaître que la sécurité s’est notablement amélioré. Même l’équipage est sélectionné à présent. Il est tout de même un peu pénible de devoir sortir son passeport juste pour aller aux toilettes. Après quelques instants, vous constatez que vous êtes seul à bord. Un passager par avion, pas plus. OS/2 Warp Lines : Le terminal d’embarquement est presque vide. Il y a très peu de clients ; de toute façon l’avion a déjà décollé - à vide. Le personnel s’excuse et montre les nouveaux supersoniques sur le tarmac, des bijoux, confortables et bien plus sûrs que les Windows® Airlines. Mais il faut juste attendre que les ingénieurs aient fini de mettre au point les instruments de vol - peut-être à la fin de l’année ? Unix Airflot : Chaque passager apporte une pièce de l’avion et une boîte-à-outils. Ils se réunissent sur le tarmac, discutent sec sur le type d’avion qu’ils vont construire. Après quelques temps, ils se séparent en groupes et chacun construit un type d’avion différent mais tous porteront le même nom. Lorsque les passagers arrivent, l’un d’eux doit être désigné pilote et doit se rendre dans la cabine de pilotage. Là, ils trouvent des manuels décrivant l’avion dans ses moindres détails, mais ne donnant aucune instruction sur le pilotage... ou bien décrit sur vingt tomes. En finale, seulement une partie des passagers arriveront à destination, mais tous croiront dur comme fer y être parvenus. Be World Airlines : Les hôtesses de la compagnie étaient les plus belles. Les vols étaient censés être les plus rapides, mais quand les passagers s’adressaient aux bureaux de la compagnie pour acquérir un ticket, on leur répondait que le nouveau carburant utilisé pour faire voler les avions (que la compagnie avait renoncé à fabriquer elle-même) n’était pas encore tout à fait bien adapté aux moteurs existant. Les passagers étaient conviés à regarder le prototype faire des loopings au dessus de l’aéroport. Dommage que tout ça ait été revendu à un fabricant de modèles réduits. Amiga Oldlines : Le nombre de passagers diminue, attiré par les supersoniques des autres compagnies. Le personnel de la compagnie a mystérieusement disparu. Chaque passager amène son turbo et bricole les vieux biplans de la compagnie, puis s’envole joyeusement. Linux Air : Compagnie fondée par des employés mécontents provenant des autres compagnies aériennes. Ils construisent leurs propres avions, leurs propres comptoirs et pavent leurs pistes eux-mêmes. Le coût du billet est minime... il couvre seulement les frais encourus pour l’imprimer ! Vous pouvez aussi télécharger votre billet gratuitement et l’imprimer vous-mêmes. Une fois à bord, on vous donne un siège, quatre vis, des outils et un petit guide nommé Pose-siège.html. Une fois en place, le siège entièrement ajustable est rustique mais très confortable. Le vol part et arrive à temps, sans pépin. Les repas à bord sont légers et nourrissants. Les hôtesses sont moches mais d’une rare efficacité : 20 pour 300 passagers, et toujours disponible pour toute requête. Lorsque vous essayez plus tard de dire aux autres personnes que vous avez voyagé gratuitement, dans un avion super confort, ils vous regardent comme si vous étiez un idiot et crient : « QUOI ?!? IL A FALLU QUE TU POSES LE SIÈGE TOI-MÊME ? » Atari ST Virtual Lines : La guerre avec Amiga Oldlines a fait long feu depuis que le marché a été phagocyté par la concurrence. Les rares appareils qui volent encore sont fabriqués en cachette par quelques fanatiques, ou sont en fait des appareils de Windows Airlines détournés par des nostalgiques. VMS Airways : Depuis le temps, l’avion est largement amorti. Il a 150 membres d’équipage et 60 moteurs pour embarquer 5000 passagers. Un soda à bord coûte 2500 € et il faut 40 minutes pour l’obtenir. Quand on veut sortir l’avion du hangar, on s’aperçoit qu’il est trop gros et que les ailes ne passent pas.
...étaient des bières ? KronenDOS : Nécessite que vous utilisiez votre propre décapsuleur, et que vous lisiez les instuctions très précautionneusement avant d’ouvrir la bouteille. Au départ, commercialisée en bouteilles de 8 cl, mais depuis longtemps disponible en 16 cl. La canette est divisée en compartiments de 64 ml, auxquels on doit accéder séparément. Ne sera bientôt plus commercialisée, et malgré cela, beaucoup de personnes continueront à la boire. CoroMac : D’abord commercialisée en bouteilles de 16 cl, disponible maintenant en bouteilles de 32 cl. Considérée par beaucoup comme une bière light. Toutes les canettes sont identiques. Quand vous en sortez une du frigo, elle se décapsule toute seule. L’étiquette de la bouteille ne donne pas la liste des ingrédients et si vous cherchez à les connaître, il vous est répondu par la brasserie que « vous n’avez pas à les connaître, et que vous risquez un procès si vous insistez ». Un avertissement sur l’étiquette vous rappelle de mettre vos canettes vides dans la corbeille. Trois fois plus chère que les autres. Windows 3.1664 : Était encore il y a peu la bière la plus populaire. Nécessite de posséder déjà une bière KronenDOS. La publicité dit que la bière Windows 3.1664 permet de boire plusieurs KronenDOS en même temps, mais en réalité, on ne peut en boire que quelques-unes, très lentement, extrêmement lentement, si vous buvez la bière Windows 3.1664 en même temps. Quelquefois, sans raison apparente, une bouteille de Windows 3.1664 explosera quand vous la décapsulerez. Windows 95 Weiser : La bière la plus populaire. Disponible en bouteilles de 32 cl (mais quand vous regardez dans la bouteille, vous voyez qu’en fait il n’y a que 16 cl de bière). Les canettes ressemblent aux canettes de CoroMac, mais ont plutôt le goût d’une bière Windows 3.1664 vieillie en fût. La publicité dit que la seule chose à faire pour boire cette bière est de porter la canette à ses lèvres. La plupart des gens continueront à boire de la Windows 3.1664 jusqu’à ce que leurs amis leur disent qu’ils ont essayé la Windows 95 Weiser et qu’ils ont aimé. Les ingrédients, visibles en petits caractères sur l’étiquette, sont à peu près les mêmes que ceux de la bière KronenDOS, même si le fabricant dit qu’ils sont entièrement nouveaux. Nécessite une constitution nettement plus robuste que la Windows 3.1664 sous peine de lourdeurs. Windows NT Weiser : Vendue en canettes de 32 cl, mais elle ne peut être achetée que par camions entiers. Cet état de fait implique que les seuls à pouvoir en boire sont ceux qui ont les moyens de se payer de gros réfrigérateurs. La bouteille ressemblait autrefois à celle de la bière Windows 3.1664, mais le brasseur a changé ensuite le packaging pour la faire ressembler à la bière Windows 95 Weiser. La pub clame que c’est une bière pour les durs, et pousse à sa consommation de préférence dans les bars. Bière OS/2 : Vendue en canettes de 32 cl. Vous permet de boire plusieurs KronenDOS en même temps. Vous permet aussi de boire de la bière Windows 3.1664 en même temps, mais beaucoup plus lentement. La publicité dit que les canettes n’explosent pas quand vous les ouvrez, même si vous secouez la canette avant. Personne n’a jamais été vu en train de boire de la bière OS/2, mais le brasseur (International Brewing Manufacture) se vante d’avoir déjà vendu 9 millions de packs de 6 canettes. N’est goûtée que par les spécialistes. Atari ST Pils : La bière n’est plus très fraîche, le brasseur a disparu. Soit elle fabriquée au noir par des accrocs, soit elle est mélangée à de la 95 Weiser.
...étaient des livres ? L’Évangile selon DOS : La première œuvre de l’écrivain à succès Gatespeare. Le livre est en fonte Courier, tout en noir et blanc ; il n’y a ni pagination ni index ni sommaire, mais il est léger et certains gourous y trouvent la Vérité sur les Bases de l’Existence. La Sainte WinBible (Testament 3.1) : Le maniement et l’apparence sont bien plus agréables que le livre précédent. Nombre de pages sont ornées de lourdes vidéos AVI, mais le poids est encore supportable. L’ œuvre est fragile : toute erreur de manipulation peut entraîner la destruction du livre dans une grande lueur bleue. L’index et la pagination existent mais ne sont pas parfaits : parfois certaines références venant d’autres œuvres du même auteur comme Excel V ou Word VI conduisent à des erreurs de page. La Sainte WinBible (Testament 95) : Le maniement et l’apparence sont bien plus beaux. La pagination est plus fiable. Par contre vous aurez besoin d’un solide rayonnage de bibliothèque, et si vous avez le malheur de perdre l’index de registres, vous êtes bon pour tout racheter. Quant aux références aux œuvres précédentes, censées être toujours valables, c’est assez aléatoire. Le MacCoran Système 7 : Le livre est très beau, la couverture est fraîche et joyeuse, le poids raisonnable. Mais neuf pages sur dix sont collées, et les deux lignes de préface proclament que vous n’avez pas besoin d’en savoir plus. Le NécrUnixicon : Les deux cent tomes, écrits petit et bourrés d’abbréviations et de codes, nécessitent un chariot élévateur. On vous explique en long, en large et en travers toutes les possibilités - réellement impressionnantes. Il n’y a aucun exemple, mais les cinq premiers tomes sont destinés à expliquer le maniement des autres. Toutes les références sont croisées et suppose que vous savez de quoi parle déjà le bouquin. Après avoir refermé le dernier tome, vous ne savez plus ce que vous vouliez. Une douzaine de versions de ce livres, plus ou moins apocryphes, existent. Certaines sont cryptiques, réservées à un cercle d’initiés (les Black Sabbath Dedicated), d’autres visent à l’universalité sans partage (variante Gnu is NexcrUnixicon). On trouvera des éditions très chères ou gratuites. La BeOSéide : D’après l’éditeur, ce livre était formidable. Il est paru dans un tirage confidentiel, sous deux formats différents. Peu de gens l’ont lu. Il aurait été racheté par un éditeur de livres de poche. Le MâhâbârâTOS : Atâri, le petit éditeur, a disparu. Les dates de parution sont effacées, la couverture fait vieillot, et les rares références sont celles qu’ont trouve encore dans quelques fanzines hyper-confidentiels, qu’on trouvera par hasard sous des piles de magazines sur la WinBible.
... étaient des films ? Autant en emporte le DOS : Un bon vieux classique comme on les aime, avec une dose d’héroïsme, des couleurs plus trop au goût du jour, visible même dans des salles pourries, et donc un peu (beaucoup ?) rétro, mais on s’en lasse pas. Star Wardows 3.1 - le Monopole Contre-Attaque : Impressionnant à l’époque de sa sortie, il a mal vieilli, à cause de sérieux trous dans le scénario qui flanquent souvent par terre tout le film. Nécessitait une salle assez bien équipée selon les standards de l’époque pour donner toute sa puissance. Star Wardows 95 - le Retour du Bill Gates : Le volet suivant de la saga. Encore plus impressionnant, il faisait encore plus appel aux technologies de pointes du moment ; le spectateur était cloué sur son siège par les effets spéciaux et les animations dans tous les coins. On se demande un peu à quoi servait tout ça, fondamentalement rien n’avait changé dans l’histoire. Nécessitait des salles très bien équipées à l’époque. Ce film a mal vieilli. Par rapport aux dernières superproductions, voire aux producteurs indépendants, il n’a plus grand intérêt. La saga a continué longtemps : Star Wardows 98 est sorti, sans grand intérêt lui non plus pour ceux qui ont vu le film précédent. Tout juste la pellicule a-t-elle moins tendance à s’enflammer spontanément en plein milieu du film. Star Wardows NT 3.5 : En gros, c’était le scénario de DélicatVMSsen avec les effets spéciaux de StarWardows 3.1. Un film d’un genre nouveau pour l’époque, qui essayait de s’opposer aux téléfilms, notamment Novell Et la Bête. Ce film a fait un bide, car énorme et à peu près aussi indigeste qu’un Christmas Pudding. Un remake avec les effets spéciaux plus modernes de Star Wardows 95 est sortie ensuite, qui a eu nettement plus de succès, mais sans résoudre les problèmes (récurrents chez cette major) de trous monstrueux dans le scénario et de combustion spontanée (avec de belles flammes bleues) de la bobine. Épisode XP - La Menace pas fantôme : Cela est censé se passer dans le même monde que Star Wardows, mais tout le monde sait que ça n’a rien à voir, que c’est fait avec beaucoup de fric et énormément de trucages, pour le fric. Le prix de la place est quadruple du prix habituel, avec trois renouvellements pendant le film (il faut bien payer la nouvelle salle obligatoire pour la projection). À l’entrée vous signez un accord de non-divulgation de l’histoire à quiconque d’autre. On raconte qu’un spectateur qui a enlevé sa veste au milieu du film a été éjecté manu militari par la sécurité : elle ne pouvait plus savoir s’il s’agissant bien de lui ou d’un resquilleur. Vos noms et adresses sont transmis au distributeur ; il pourra ainsi vous marketer/matraquer. Hasta la Vista : Suite du précédent. Ce serait la « séquelle » de trop si XP n’était pas déjà lui-même inutile. Il a tous les défauts de XP en pire. Chaque spectateur est encadré par deux agents de sécurité (au cas où vous oseriez prendre le film au camsescope). Au moins la pellicule ne s’enflamme-t-elle plus. Il est heureux parce que, au fond de sa boîte blindée, on ne peut y accéder. JurassUnix Park : Un mélange assez fascinant de très haute technologie ruineuse au service de vieux concepts. Très impressionant tout de même. Mac Attacks : Venu d’un autre univers totalement étranger au nôtre, le scénario n’est pas trop mauvais, mais on est obligé de tout deviner. Très honnêtement réalisé, mais les trucages commencent à dater malgré le nouveau réalisateur. La fin n’est pas encore claire, mais ça semble finir mal. MIB (Mac In the Black) : Premier film d’un petit réalisateur qui avait travaillé à la IBMGM. L’histoire de deux mecs qui vont donner un peu de sens à la vie dans ce monde dominé par quelques grandes compagnies. Fin bizarre : ils sauvent le monde de la grisaille et de l’anéantissement mais ne survivent pas (tout du moins l’un des deux). Independance TOS : Scénario à pleurer malgré une technologie à la page. À la gloire des irréductibles qui ne se laissent pas récupérer par le système. Beaucoup l’ont vu à l’époque mais quelques temps après on a trouvé mieux et oublié. La boîte de production Atari, autrefois une grande major, a coulé. BeOS et un couffin : Longtemps restée dans les langes, cette œuvre promettait beaucoup mais les salles devaient acceptent de changer de projecteurs et de sièges. Une version pour salles ’normales’ n’a pas empêché finalement l’annulation de la sortie, et le rachat des droits par un distributeur de vidéo.
...étaient des fours ? ArDOS Martin : L’ouverture du four implique que vous avez pris connaissance et acceptez la license livrée avec votre four. Introduisez le dîner dans le four. Lancez la cuisson par la commande : msmwave -dinn08.5min50%heat/ >oven puis : msstart -cook_dindin\yummy\yumyum -gohot -cookme. Attention : on a relevé des incompatibilités avec les lasagnes, les raviolis et le poulet du Gers. Le patch pour les pizzas est disponible sur http://www.microwave.com/download/patch/98236/b/xx/patch12_98f.exe En cas de crash, ce qui peut arriver, tapez msstart -tryagain -again -again -shit Si cela échoue, un redémarrage à froid est nécessaire. Au besoin, contacter votre revendeur ArDOS Martin sur la hotline (0190 666 666, 0,85€/min).
Rappelons qu’il est tout à fait normal que le four déclenche de temps à autre le dégivrage accéléré du congélateur ; ce n’est pas un bogue mais une fonctionnalité. Maclinex : Insérez le repas, appuyez sur Start. Le four reconnaît le repas, se configure, et vous prévient quand c’est à point. Si vous trouvez que c’est trop cuit, ou pas assez, c’est que vous ne savez pas ce qui est bon. MouLinux : Insérez le repas, ses ingrédients (voir modes d’emploi), le poids, le niveau de gratinage nécessaire, les coefficients de transfert de chaleur dans les différentes parties dudit repas, et tapez microwave -on -cnf -m chicken -c config | tv -i -c3. Le four, après dix minutes de calcul, se mettra en marche, et vous avertira sur la télé du salon que c’est prêt. Petit plus notable, vous avez la possibilité de télécharger une flopée de recettes sur Internet. Certains scripts permettent aussi de récupérer, sur un peu tous les modèles de réfrigérateurs et congélateurs, l’état des stocks, puis de passer commande, et enfin de préparer le repas pour votre retour du travail. Contrairement à bien des concurrents, ce four prévoit le multi-utilisateur. Chaque morceau du rôti sera cuit différemment selon les goûts de chacun. Noter aussi qu’une fois paramétré, un Moulinux ne tombe jamais en panne. Il est utilisable ausis bien par une famille que par une collectivité. Mwhirlsoft XP : Les anciens modèles 95 de base ArDOS Martin étaient connus pour une utilisation plus facile, mais également pour avoir provoqué un nombre fabuleux d’incendies. Les versions 98 avaient à peine changé la donne. Quant aux fours industriels NT, ils auraient été impliqués dans la catastrophe de Toulouse. Les derniers modèles XP sont bien plus fiables et modernes. La facilité d’utilisation est digne de Maclinex, une fois cependant l’enregistrement auprès du constructeur effectué. Chaque plat cuit est transmis au constructeur par Internet. Si vous violez une des recettes livrées avec le four, il le saura. Si vous ne lui avez pas payé la license pour la recette du plat en cours, ou pour un nombre insuffisant de personnes, le four ne fonctionnera pas. Les ingrédients sont livrés chez vous sous emballage scellé, vous n’avez pas à savoir ce qu’il y a dedans ni modifier l’assaisonnement. Vous devez juste les mettre dans le four. Des experts estiment que 45% des prix des repas dans 3 ans seront constitués par des paiments de licenses de recettes à Mwhirlsoft®, et que 25% des charges des maraîchers et producteurs de viandes, poissons et fruits et légumes seront constituées de droits d’enregistrement et certification pour cuisson dans les fours Mwhirlsoft. Bien sûr, un four Mwhirlsoft ne tolérera absolument pas de s’interfacer avec un autre réfrigérateur, une autre cuisinière, un autre fournisseur Internet, que ceux conseillés par le fabricant. Dernier avertissement : le design Fisher-Price risque d’attirer vos enfants qui peuvent s’y brûler mortellement. Attention également aux virus : certains fours infectés ont commandé et cuisiné des gratins d’ammanites phalloïdes à l’insu de leur propriétaire. Mais Mwhirlsoft propose une assurance obsèques en option.
...étaient des pizzas ? MS-DOS : La pizza n’est composée que d’une fine couche de pâte avec quelque anchois vieux de 10 ans posés dessus. Vous la mangez et vous mourrez de faim. Windows 95 : La pizza est magnifique, il y a de gros morceaux de mozarella partout, deux grosses olives brillantes, des tranches de poivrons et de tomates étalées dessus ; mais au moment vous voulez l’avaler, vous vous aperçevez qu’elle est en plastique, et vous vous étranglez avec une des tranches de tomates coincée dans votre gorge. Macintosh Système 7 : La pizza est magnifique, mais au moment où vous voulez la déguster, le serveur arrive et vous tire une balle de calibre 6 dans la tête en vous disant qu’on ne doit pas la manger, que la vue de la pizza suffit à un utilisateur normal. UNIX : Quand le serveur arrive avec une immense pizza de 230 kilos environs, vous faites une attaque et vous en mourrez. OS/2 : Le serveur vient vers vous et vous annonce que la pizza OS/2 est trois fois mieux que la pizza Windows 95, qu’elle est faite avec de très bons produits frais, mais qu’elle n’est pas livrable avant trois ans. AmigaOS : Le serveur vous apporte dans un sac en plastique un truc tout vert et qui sent le rat crevé en putréfaction. Forcément, la pizza est vieille de 10 ans (c’est celle que vous mangiez quand vous étiez gosse). Linux : La meilleure pizza, tout simplement. En plus, elle ne coûte quasiment rien. Rien ne vous empêche de la faire mitonner chez un petit pizzaiolo des chaînes RedHat ou Suse, ou par un membre du réseau communautaire Debian, mais le plus rigolo est de récupérer la recette et de tout choisir vous-même. Attention : Linux n’est à propoment parler que la pâte. Les tomates viennent du projet GNU, et le fromage de Gnome ou KDE.
...étaient des partis ? Windows : Gates est le seul Dieu et Balmer est son prophète. Toute personne s’opposant à Dieu est automatiquement exclue et persécutée jusqu’au suicide par tous les moyens possibles. Les plus chanceuses se font acheter et laver le cerveau. Les fidèles se sentent libres et ne sentent pas les chaînes tant qu’ils ne bougent pas. Le Parti possède un prosélytisme que seuls les linuxiens peuvent dépasser. La ligne du Parti ne cesse de changer suivant l’air du temps, promet des lendemains qui chantent et tout ce que Bill Gates sent comme la meilleure façon de gagner des voix. Le Parti est ouvertement à visée hégémonique. Toute résistance est futile. Elle n’existe d’ailleurs même pas. En parler est déjà une faute. Tout se passe dans les coulisses. Le Parti ne montre à l’extérieur rien de sa cuisine interne. « La sécurité par l’obscurité » est la règle. Dans les discours, le but est de satisfaire le mieux possible les électeurs. En grattant très peu, on s’aperçoit que la seule valeur importante dans le parti est l’argent. Pourtant il y a déjà de quoi acheter le Ministère de la Justice entier (ça a déjà été fait). Oublier de payer sa cotisation est puni de prison. Seules exceptions, les nouvelles victimes, le temps qu’elles oublient qu’il y a un monde dehors. L’argent prime tout. Un benchmark peut se truquer. La vérité n’existe pas, on peut l’inventer et l’imposer par la pure répétition. En tout cas, elle est ailleurs que dans les discours. La loi est accessoire car un juge peut être acheté ou roulé dans la farine. Un contrat ne lie que celui qui y croit et la corruption n’est qu’un moyen. Or, la fin justifie les moyens. Le Parti Windows est quelque part entre le fascisme-communisme version 1984 et la scientologie. Macintosh : Parti en pleine renaissance après un retour aux sources et le come-back du fondateur-messie Jobs. Pour le citoyen de base, tout doit être simple. Il ne doit pas avoir à s’occuper de quoi que ce soit. Il doit faire aveuglément confiance. Ça marche très bien... tant que le parti reste confidentiel. Dernièrement de nombreux transfuges de Linux ont rejoint les rangs des sympathisants : les mêmes idéaux de convivialité et de haine envers Windows sans les prises de tête philosophiques de Stallman. Linux : Ses partisans sont apparemment incapables d’autocritique. Les critiques extérieures ne font que renforcer la conviction de ses fanatiques. Ça ne les empêche pas de patcher les programmes et discours pour les adapter à la réalité. Chaque membre en ayant sa version, tout le monde est content. L’un des thèmes principaux est la sécurité. La sécurité ne peut être obtenue qu’en publiant tout et n’importe quoi. Avantage indéniable : l’ennemi n’a pas le temps de penser à autre chose. Tout partisan de Linux se doit de vénérer Linus Torvalds, de lire ses citations, de les utiliser le plus souvent possible pour soutenir ses propos. Officiellement, tout le monde est égal mais certains le sont apparemment plus que d’autres. C’est le culte du chef. Chef qui a intérêt à rester digne de son rang : un fork du parti pourrait très vite arriver si, un jour, il n’est plus à la hauteur. La plupart des partisans ne parlent pas tant des qualités de Linux, mais ne passent leur temps qu’à ironiser, combattre, détruire leurs adversaires. Les partisans de Linux n’existent que par le combat envers ce qu’ils considèrent comme étant leurs ennemis (qui sont partout d’ailleurs. Le fanatique Linux est paranoïaque, souvent à juste titre). Les querelles byzantines sont intrinsèques à la culture linuxienne. Tout étant publié jusqu’à overdose, il y a matière à discuter de tout pendant des gigaoctets. L’hygiène est la dernière préoccuppation d’un pur linuxien. L’alcool est mieux considéré. L’argent est une valeur maudite, issue d’un système économique périmé. Les Mips sont bien plus intéressants. Tout travail ne peut être que bénévole. Si vous voulez quelque chose en retour de vos efforts, vous êtes excommunié. Linux est une voie sans retour : qui s’y engage subit une monstrueuse pression sociale pour passer du stade de neuneu à celui de scarabée puis de gourou quasi-divin. Et de même que la vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie, Linux ne vaut rien mais rien ne vaut Linux. Toute une catégorie d’utilisateurs se dirigent vers Linux car il est une meilleure arme pour nuker, hacker, détruire leurs adversaires, y compris et surtout les innocents et les faibles. Linux est le plus apprécié des terroristes. Le fanatique Linux pur et dur est réactionnaire, pour lui le rendre plus convivial et accessible aux non-initiés et ainsi ressembler à d’autres qui ont fait des progrès dans ce domaine est un manquement grave à l’idéologie qui les gouverne. Linux est élitiste. Il est un moyen de discriminer les utilisateurs : Linux est le choix du fort, le faible n’est pas capable de l’utiliser. Il est ouvertement affirmé que la sélection des idées par compétition est la seule voie et que les autres doivent crever. Linux est darwiniste. Un parti linuxien serait anarchiste, et de tendance totalitaire si on laissait faire certains de ses membres.
... étaient des animaux préhistoriques ? Microsoftorux Rex : Tout le monde le redoute. Il ne supporte pas la concurrence. Il croque tout ce qui passe. C’est le plus grand, le plus effrayant, de tout le Crétacé. Il a déjà bouloté tous ses ennemis, et il va encore continuer. Coup de chance pour ses ennemis, il est souvent victime d’arrêts cardiaques totalement inattendus en pleine course. Mamlinuxfères : Ils sont tout petits, fragiles, d’un aspect bizarre par rapport aux dinosaures. Un Microsoftorux Rex perd plus d’énergie à en attraper un qu’il n’en gagne à le digérer : ils sont trop petits. Mais ils sont aussi nombreux, très nombreux. Et leur métabolisme est bizarre, aussi : à sang chaud. Un jour, ils domineront le monde. Le Microsoftorux Rex le sait. ArchæopteMacOyx : C’est un vieux cousin du Microsoftorux Rex, il vient du même monde impitoyable que lui. Mais il a changé. Il n’est pas devenu aussi énorme, personne ne le craint vraiment. Il mise tout sur son agilité et ses ailes. Il est superbe. Il ne craint pas les mamlinuxfères. D’ailleurs, il est à sang chaud comme eux, depuis peu. Ils peuvent prendre le monde, il s’en moque. Après tout, être débarassé du Microsoftorux Rex sera une bonne chose, et dans le ciel, il sera encore longtemps le roi. avertissement: Bien évidement, tout ceci n’est que de la pure fiction. Toute ressemblance avec des événements réels n’est que le pur produit de votre imagination ou mauvais esprit. avertissement 2: Avertissement (aux linuxiens en particulier) : Tout ceci est à prendre au second degré !!!
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113. betulteam ,
bonjour C'était juste pour vous dire que vos blagues sont marantes Continuez tous comme ça et à bientot pour une blague Betulteam
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114. loeuil_du_guerrier,
C'est un pain au chocolat qui rencontre un croissant, et lui denande,« Eh pourquoi tu est en forme de lune?» le croissant lui repond, « Ohje t'en pose des question moi!, est ce que je te demande pourquoi t'a une merde au cul!
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115. niko-bellic,
salut, trop bonne ta blague! en voici une autre. C'est un garçon qui demande sa femme en mariage sur le borere d'un lac. Sa femme lui répond. Oui je le veux. Soudain, les canards passent et demand au garçon. Quand? quand? quand? quand? quand?
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116. Max2003 ,
telmant con mais telmant bon... C'est terrible.
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117. Hudson,
bonjour a touts désoler mais il y en a qui vont être vexer mais il faut relever un peu le niveau mdr!!! ma blague était très drole merci beaucoup!!!
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118. betulteam ,
bonjour j'ai pas compris ta blague
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119. bella33 ,
bonjour, comment appelle-t-on un chien sans pates? et bien on ne l'appelle pas, on vient le chercher.